Chicken : débonède

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J’ai découvert récemment (dans un sujet “serial killers & cuisine” sur Reddit) le cuisinier Jacques Pépin. Bien qu’il soit français, il semble être plus connu ici que sur sa terre natale. Émissions de télé, livres de cuisine,…
Ma première incursion dans son boulot a été cette fameuse vidéo postée la dernière fois, sur la manière de désosser un poulet pour en faire une ballottine. J’étais sciée.
Je me suis mise à la cuisine de façon plus sérieuse depuis que je suis ici, mais j’avais pas vu une émission dessus depuis “la cuisine des mousquetaires” avant le repas chez ma grand-mère. A l’époque, encore plus que maintenant, je prenais beaucoup plus de plaisir à manger les plats qu’à les préparer, et je ne prêtais pas beaucoup d’attention à ce qui se passais sur l’écran.
Mais voir ce type désosser un poulet tranquille, en parlant à la caméra dans un anglais cassé et tout plein d’accent, je sais pas, je crois que j’ai eu un coup de foudre. J’ai eu envie de regarder des millions d’émissions de cuisine et apprendre à faire ce genre de truc.
En rigolant, Mr C m’a proposé de faire une ballottine pour ma démo de cuisine de la semaine prochaine. On a plaisanté un peu dessus… et puis on s’est dit “chiche”.

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We’re in this together (enfin surtout moi)

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Je sais, je sais. Ça fait deux semaines au moins que j’ai pas approché ce blog.
En même temps, si je tenais toutes mes bonnes résolutions, ça se saurait.

J’ai tout un tas de bonnes raisons pour ce manque de mises à jour, qui nécessiteraient chacune un article à part entière. Mais je vais essayer de faire plus court.

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Enfermée dedans

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J’en ai une bonne.

C’est l’histoire d’une meuf qui était tout le temps enfermée chez elle. C’est pas que dehors c’est nul, mais quand même, on est mieux dans son petit cocon chez soi. Et puis un jour, elle veut ouvrir sa porte. Pour voir. Pour faire de l’air. Elle ouvre un verrou, puis deux. Mais la porte ne s’ouvre plus.

C’est comme une belle métaphore sur la vie, sauf que sans rire, c’est ce qu’il se passe là maintenant tout de suite.

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Diablo III : ma vie, mon loot

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Après près d’une centaine d’heures de jeu sur Borderlands et pour changer un peu de Skullgirls, avec Mr C, on a décidé de se remettre à Diablo III.

On avait commencé à jouer en tandem le soir de la sortie, avec une bonne nuit blanche à la clé. (souvenirs, souvenirs…) Ma barbare et le mage de Mr C ont écrabouillé gaillardement du monstre pendant des heures et des heures. On a fini la campagne en Inferno, recommencé des persos en Hardcore (witch doctor pour moi + barbare pour mon acolyte), terminé l’acte I en Inferno itou, et puis… Et puis je me suis lassée.
Majoritairement, par manque de loot. J’aime beaucoup les hack n’ slash, et on finit généralement la campagne en un temps record. Ce qui fait pour moi l’intérêt de rejouer, c’est la difficulté augmentée bien sûr, l’envie d’aller jusqu’au bout du jeu, mais surtout le meilleur loot. J’adore voir tomber des objets plein de couleurs, voir mes DPS passer du simple au double par la magie d’un super-nouvel-équipement, avoir des armes avec des skins de folie…
J’ai ainsi beaucoup plus accroché à Titan Quest et à Torchlight qu’à Path of Exile par exemple, où le système de compétences est super intéressant, mais enlève malheureusement beaucoup d’intérêt aux drops.

Mon idée de "suffisamment de loot".

Mon idée de « suffisamment de loot ».

A l’approche de la sortie de l’extension de Diablo III, et ayant raté pas mal de mises à jour qui potentiellement ont changé plein de trucs au niveau gameplay et génération du loot, il nous a pris l’envie de retenter un peu le jeu. Création d’une mage pour moi et d’un moine pour Mr C, et c’est parti.

EH BEN POUR CHANGER, ÇA A CHANGÉ.

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Socially awkward Penguin

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Dans moins de 6 mois, je sais pas où je serai. Peut-être de retour en France, peut-être dans un autre pays, peut-être ailleurs aux USA…
Comme par hasard, c’est le moment où je commence à prendre plus d’assurance, à vouloir faire plus de choses. C’est le moment où on me donne de nouvelles opportunités, et où je les accepte.
Il m’aura fallu 2 ans et demi. Lire la suite

La voie du Crochet

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La voie du Crochet

Premier post crochet-esque, parce que faut pas croire, je ne fais pas QUE manger et regarder des films.
Des fois je fais des choses de mes petites mains aussi. Lire la suite

Des filles et des frondes

Comme ça, en passant, j’ai envie de vous parler webcomic.

Pour vous prouver l’efficacité de celui-ci, sachez que sous le prétexte de “recherches”, je viens en fait de passer les deux quatre dernières heures derniers jours à relire tous les strips qui me tombaient sous la main.
Et du coup j’ai rien écrit.

girls_slingshots

Girls with Slingshots est un webcomic qui fête ses 10 ans cette année. Format strip, il étale les tranches de vie de l'(anti-)héroïne, Hazel, sa meilleure amie Jamie, son cactus parlant, McPedro, et tout un tas d’autres personnages plus ou moins délirants et attachants.
En gros pensez Friends, HIMYM et consorts, avec un peu plus de problèmes de thunes, de sextoys, d’animaux chelous et d’orientation non-hétéro. Lire la suite

J’ai un avis sur… Pacific Rim

J’étais prête à aimer ce film. Vraiment. Y a des robots qui se battent contre des créatures géantes. C’est Guillermo del Toro. Y a Ron Perlman. Les gens qui revenaient de la séance annonçaient tous sur Twitter que bon certes le scénario pour du del Toro c’était faiblard, mais que ohlala on en prend plein les yeux. J’ai fermé les yeux et me suis bouché les oreilles en chantant quand on me disait que j’allais être déçue.
J’étais prête à payer les 15 dollars pour aller le voir dans un vrai ciné et en 3D. (sauf que je l’ai raté, pour une raison qui était très certainement excellente mais dont j’ai aucun souvenir)

J’étais tellement prête à aimer ce film qu’avant même de l’avoir vu, je l’ai offert à mon père pour regarder sur sa super-grande-télé-toute-neuve-qui-fait-même-la-3D-et-les-pommes-de-terre-frites.

Et hier, finalement, j’ai vu Pacific Rim. Sur un écran de PC 15 », certes, ça manquait un peu d’envergure. (on aurait pu le voir sur un 17 » mais allez savoir pourquoi, mon PC refusait de lire le DVD. En fait, je pense qu’il SAVAIT.)
Mais c’était le cadet de mes soucis. Pacific Rim, bordel !

C'est quand même pas trop moche.

C’est quand même pas trop moche.

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Marquise des Anges

Quand j’étais petite, je passais pas mal de temps chez mes grands-parents paternels. Quand ma tante a quitté la maison, j’ai eu le droit de réquisitionner sa chambre, encore remplie de ses bibelots, ses affaires,… et surtout ses livres.
Je ne sais plus à quel âge j’ai commencé à attaquer sa collection de bouquins. Disons… vers 10 ans ? Sur une étagère, il y avait une armada de J’ai Lu aux couvertures colorées, qui m’attirait l’œil depuis longtemps. Des tomes et des tomes de romans historiques dont les titres portaient des noms de femmes, séries plus ou moins longues et plus ou moins bien écrites… Angélique, Marianne, Stéphanie…
Marianne, c’était la beauté aux cheveux noirs et yeux verts, qui passait des bras de Napoléon Ier à ceux d’un prince mystérieux en passant par Jason-l’amour-de-sa-vie ; aux étreintes peu nombreuses et sujettes à de pudiques ellipses. Un grand sujet de curiosité pour moi, sur ce qui pouvait bien se passer entre le moment où Napoléon la portait, “frémissante”, dans son lit, et le paragraphe suivant où elle se réveillait et tirait les courtines.
Avec Stéphanie, ma curiosité a été vite rassasiée. Peu de détails m’étaient épargnés dans le récit de ses amours avec l’homme de sa vie, René, et une ribambelle d’autres individus, entre la guerre de Crimée et la Commune de Paris. Stéphanie était cependant loin d’être ma préférée, et m’inspirait assez peu d’empathie. Je me demande si ce n’est pas lié au fait que ses aventures aient été écrites par un homme, contrairement aux deux autres.
Et puis il y a eu Angélique et ses dizaines de volumes. Je suis tombée dedans d’un coup. A l’époque ma tante possédait presque tous les tomes parus (jusqu’à Angélique à Québec t.1, soit 20 volumes), ce qui m’a procuré un paquet d’heures de lecture. Lire la suite

28/3/8

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J’ai un an de plus depuis une semaine.
3 ans de mariage aujourd’hui.
8 ans de relation dans un mois.
Le festival des dates importantes, concentré sur un petit bout d’année. Lire la suite